I.
Sur la pierre dure,
je m’écraserai après une
chute trop longue
dans l’abîme giboyeux.
II.
sur la pierre dure et froide
où s’écrase mon corps
où s’allonge mon corps
qui recouvre mon corps
roide,
III.
Là peut-être,
s’abreuvent à la source joyeuse,
fleurissent les pavots d’éveil
s’ouvre l’immémorial