couché sur des cartons entre les poubelles
ce qui pousse sur le bois humide
un hikikomori
plie et replie
le destin
– épouser le chiffon froid
l’arracher des serres du croque-morts
et de ta griffe, moïra
lire, relire l’avenir
dans les yeux d’un poisson desséché
comme on décachette une boîte de nuit
comme on décapsule une bière
memento mori
au-delà des poubelles
passent les hommes des sables
et les rennes de phosphore.
Cela claque. Comme du Kerouac
C’est gentil. Si seulement…