les ombres grises et sans visage
dans la ville blanche
et le papier glacé des magazines
s’effacent au soleil des printemps
les ombres glissent sans visage
au loin s’immobilise la grande roue,
latence ultime de flonflons retombés
les ombres gisent sans visage,
et sur leurs joues évanouies
coulent des pleurs scintillants