les cordes d’une basse raturent la nuit
isolé derrière des murs de son
ne plus jamais lever les yeux
ne plus voir les ruines et l’envie
fixer le sol incertain et sentir
des flux d’émotions
des sanglots peut-être
des mots pâles
basse fidélité
– quoi d’autre à présent –
des souvenirs évanouis
des ombres bleutées
sur les photos surexposées
– quoi d’autre à présent ?