je n’ai pas les mots
pour te dire ce qu’il y a
si je suis moi-même
ni si je me sais vivre
pour l’heure j’écoute
l’appel de la nuit
la leçon du vide
je n’ai pas les mots
pour te dire ce qu’il y a
si je suis moi-même
ni si je me sais vivre
pour l’heure j’écoute
l’appel de la nuit
la leçon du vide
C’est joli ce que tu écris fabrique petit être.
Merci à toi.
D’ordinaire, ce qu’en pensent les gens m’indiffère. Dans le cas présent, cependant, tes mots me touchent sincèrement. Certainement parce-que j’ai la même chose à dire de ton blog où tant de choses me parlent – à commencer par le morceau des Pixies évoqué en titre.
En te lisant, on sent parfois la poudre, ou cette odeur métallique qu’un coup reçu laisse brièvement dans la narine…
Je remonte progressivement dans tes articles, impressionné par ta facilité d’écriture (bon sang, tu as bien commencé il y a un an !?). Bonne journée.
Merci à nous alors.
Je ne suis pas venue depuis quelques mois, parfois je n’aime pas être là où ça me fait du bien. Je ne sais pas non plus trop bien comment tout ça fonctionne. Certains de mes textes datent d’il y a plusieurs années, c’est fouillis. Moi j’aime à me perdre dans tes mots, je n’ai pas encore pris le temps de comprendre comment ils étaient rangés. Bonne journée.
:) Tu sais je suis moi même un peu perdu dans mes mots…
Bien sûr. Je ne sais pas trop comment ça fonctionne, mais je trouverai :)