A quoi bon célébrer les candélabres délabrés du camp des saintes pierres ? J’ai kristicdit au faire de l’en-vers : tu es cerbère et sur serre-bière je conduirai mon égrise. Du tac au tac, ils m’ont dégivré, pour mes prendre et peine, mais peu me chaule.
M’éveillant comme on a cil au pays d’évermeille, j’erre en mammouth sur saturne, et rêve de cendrarsiser Shangri-La. Las, il m’y manque l’évide-dent.
De ma cinémathèque à ma sinémantique dans les éternèbres des nosiens, palpulent des étoiles d’amer défilantes. J’y trinquebourrais bien, ne serrerait cette paralysie sorbetière du coude… morfle perruche ! Que zigue vaille et zigue vague, ma misambière de misanthrope en prend un coup !
Alors, avant que je ne revienne geler les eaux d’hier je ramasse les débribes de mes amoursures abhortées. Et ne m’enveuille blanchermine si mes chagrimes trissent des macramélancoliques quand noircissent mes chakrames : c’est que ma toquante clac-sonne sa tocata d’un stacatone baryphon.
Alors que déjà s’ingrise et frissaille le prochain novobre, vipéropoing : ce crotale qui tintinne à bulles au poignet dit qu’il m’est temps, mon harmononamie, d’occider au couchant ces émois peauetriques mais trop encor’ombrant si n’y à purma en fée d’étoi romantique qu’un froid d’anapurnartic’ qui rhuime et m’emportevoix…
Mais qu’importe, vois ! Voici qu’au do des chaèdres frissombrent les étrames. Honnies les harmonodies des aromâtes de la Rome antique, les décembriers piétinent les décombres où s’étiolent les peauetres – décoré, c’est doré mais déjà dattier.
Et n’aie crainte, devant Bacchus je fais sarrement qu’un adagio allègre promptamant reviendra chanter l’aur et la lumièrre de tes zébras, les grenats des grenades qui ecarlatent en éclats
– ces mystères font qu’on écroute moins la chevêche d’atheinada que l’échanson de la ratte d’Héra, et qu’on allangue s’adonne à la chatte de l’engris-chat, faute de s’achater une glace framboaz…
aux chalarmes de Shangri-La.
Edit – mes excuses aux deux ou trois lecteurs qui ont déjà croisé ce texte récemment sur urbarts drifts. Il y avait a place car de pure dérive linguistique. Mais à la réflexion, il y a plus de sens à regrouper ici mes quelques alcofribasseries…