danse insensible dans le sable,
lune sybille, danse insensible,
tandis que la cible s’incendie, intensément,
d’encens subtil mais d’une indicible densité :
FUMÉE !
seulement,
d’éphémer en éphédream et d’infraderme en inframondes, comme on aimerait exhumer le rêve, exaucer le vœu des nerfs
(ou, si lové, exhausser le nœud des vers)
mais à chose quelconque, bonheur est mal
– et cherry-broke vent, provoque diamant, la mort est une ô verdure…
(et comme j’égrise alla meka, élucubre en déséquilibre et succombe en quête-succube, fête-phare, pète-poule, en kimono chasse-âme embêche, avec toute sa confaconde confabulante-nasale et la blonde extraversion du vide nadal – CANCANNE, messe faisanne empêche que chausse pas glande, et pâme à palma-plume d’implum’moter)
… et d’avoir d’une certaine mort éditerramé l’éphémère, on acquière tout-de-mêmement la théorie des bruits hantés – du moins jusqu’à la mort en état d’ébriéveté brevetée, mais orchiasmique.
C’est tu, non silencieux, tes rêvoueds transibériens débordent la pagimanation et décraient les tableaux noirs, dénoient les tamanoirs, les tamableus et les tamablancs hiers rétamés sur le tharmac peauceux de mon tamtambour d’amour calembourg ;
et maintenant que leur hordes des-hordonnées
incantent karmiquement et indansent qantiquement
retapés sur ta kanthâte, tchouto maté,
baïkale-moi la mer sans amer bancal,
comme bolchoïent tes longambettes incygnes,
mon abeille d’armor !
Oh et vase tranquille,
valsenquille ta transe ibérique, ta danse romaine
lasse éloignant, ta transe étrange qui plus n’étrangle mon étrame de buis
que j’ai appris des ombres
que mes scintillements-kippus t’échaulent, nem tiraillent ni fusillent
désordre
mais que plus rien ne croit,
ni, causticokassement, ne coasse en dedans :
je varste tristâm mélancolique, caves-tu et caveau-léger,
vers une autre or izolde
et lasse introuvrable
– sieste ainsi,
et tchawamen