un théâtre jazz sombre comme un navire noir,
une fontaine mélancolique
ô darlingless d’empire,
loin des nornes, loin des nords,
des bikers charbon aux regards d’ambre…
ahaha, ils dansent, tubular bells et mélano-saxo,
tout ce qui aurait pu être, tiens :
« imaginez tout un peuple amoureux-fou »
one eyed Jack a dit :
ce pourrait être une ville du sud
murs roses et balcons décadents,
palmiers, bayous et nouvelle orléans,
disco’s disco, épate d’éléphant,
n pour n, et dent pour dent,
du chat du cheshire à la chenille du houka
benvenuto alla énhaschka !
une nōria de nōtes bleues,
nō, ō-u dans l’eau, et les reflets,
échaffaudent des ascenseurs,
des nuits aux teintes rhapsōdie
de miles davis en jōhn cōltrane,
on frankzappa les nuages,
on baise les étōiles,
ou l’inverse, sin attractiōn :
une déesse lunaire,
psych& des danses d’ōmbres
et de licōrnes nōires
summertiment sur les tōits
blue notte à la NHK, blue note & pianote-moi,
veux-tu ?